Chambre 209

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Finalement, on avait pu lui donner une chambre digne de se nom. Les réceptionnistes avait soulevé des sourcils étonnés a sa demande de « la moins cher » mais étant donner que la jeune femme n’avait pas bronché d’un poils malgré leur étonnement flagrant, elles lui avaient tout de même donner l’objet de son court désir. Une clé…

Chambre 209. Arrivé dans la pièce, elle parcouru celle-ci d’un regard vif ressortant les moindres petits détails de ses yeux attentifs. Tout semblait en ordre… Elle n’allait pas rester ici longtemps, la pièce sentait trop bon. Elle jeta son sac de voyage sur le sol, lourd de fatigue et ferma la porte de sa chambre fermant doublement les verrous. Elle se dirigea vers la fenêtre et ferma les lourds rideaux ou commençais à poindre un soleil naissant. Cette nuit elle chercherait un autre appartement.

Elle se déshabilla et s’étendit dans le lit de drap de soie et s’endormi presque aussitôt. Elle se réveilla en sursaut après un de ses éternels cauchemars qu’elle ne comprenait pas. Elle se redressa dans son lit revoyant l’image épeurant qui l’avait réveillé. Un homme souriant avec une allure affamée, les yeux remplis de perversité ouvrant la bouche pour dévoiler des canines bien plus grandes que le commun des mortelles prêtes à la mordre. Elle se leva fit quelques pas vers la salle de bain pour prendre un bain, la libéré des toxines et de la suie encrasser dans sa peau suite au voyage de la veille.

Elle ressorti de la baignoire qui avait virer au jaune crasseux et revint dans la chambre se laissant séché a l’air. Elle vida son sac sur le lit, farfouillant pour y sortir bougie, bandeaux, maquillage, quelques vêtements de renfort et surtout… Ah! Trouver. Sa robe de sorti fétiche. Une petite robe noir tout ce qu’il y avait de plus sexy avec une chaînette d’argent glisser autour de la taille. Elle finalisa son maquillage, s’observa un moment dans le miroir et fit son sourire le plus charmeur, se trouvant presque irrésistible. Pour sur, son futur propriétaire tomberait sous le charme ou son futur employeurs aussi. Elle pris son manteau et dévala les escaliers jusqu'à la sorti, jetant un regard noir a quiconque détaillait ses jambes fines et remontait le regard jusqu'à voir son visage.

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

Un homme, par contre, lui barra le chemin devant la porte. Vêtu d'habits très simple, un jeans et un t-shirt, tous deux de couleurs bleu foncé, la fixa dans els yeux, sans même descendre vers ses jambes. Plusieurs gens passèrent près de lui et le saluait, l'appelant Cédric, il répondit à chacun d'entre eux, par leur prénom. Il croisa ses bras sur sa poitrine et, d'une voix plutôt grave, il dit.

-Bien le bonsoir, ma p'tite demoiselle. Bienvenue a Frighthon. Je suis Cédric, gérant de plancher ici-même. Si t'as une minute ou deux, j'aimerais te jaser! Rien de bien gros, j'te jure. Pis inquiète toi pas, je mords pas... ben pas ici en tout cas!

L'homme dégageait une aura très étrange. C'était menaçant, mais appaisant tout à la fois. il tendit une main propre vers toi, attendant simplement ta réponse.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Elystra stoppa à la sorti arrêter par le garde du corps de l’entrée. Celui-ci l’aborda directement la mettant presque mal à l’aise car s’était évident qu’il voulait lui parler à elle et qu’il attendait sa sortie. Étrange… Elle écouta ses paroles tout en l’analysant ses contours de son regard perçant, elle ne le regardait pas dans les yeux immédiatement. Elle ne voyait rien en lui qui disait qu’il mentait. Même certaine couleur tournant dans le jaune et le bleu lui disait que s’était un homme intelligent, plutôt calme. Elle aurait pu le voir comme un homme important mais elle ne savait pas si elle devait se fier à ses impressions, les couleurs et les changements pouvaient avoir tant d’interprétations différentes… Elle se méfiait d’elle-même autant que de lui dans ses variantes.

À la fin de ses paroles, elle remonta le regard pour observer ses yeux. Elle se devait d’offrir une réponse à la hauteur de ses impressions. Gardant un visage neutre et froid elle lui parla d’une voix douce, légèrement aigus.

"Bonsoir Cédric, je suis Elystra, mais tu l’as bien vu sans doute sur le registre des entrées. Je suis arrivée ce soir. Bien sûr, je ne suis pas pressé. Tu désire me voir en privée ou peut-être pourrions nous nous parler dans le salon de la réception? J’ai cru en apercevoir un en arrivant."

"Ben pas ici en tout cas" Elle tourna la tête vers se qui lui avait sembler être le petit salon de la bâtisse ou était également installé un bar à alcool quand la fin de sa phrase lui revient, qu’avait-il voulu dire par la? Sans doute un détraqué sexuel qui aimait mordre ses femmes mais a quoi bon lui dire cela avec cet humour morbide dans la voix?

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

L'homme souria, sans toute fois montrer les dents. Il suivit le regard de la jeune femme vers le petit salon, et approuva de la tête. Il lui tendit le bras, attendant qu'elle le prenne, tel un gentleman.

-Puisque je t'ai un peu tordu le bras pour accepter de me parler, je t'offre un verre, c'est sur la maison. Par contre, j'ai un peu mieux que le petit salon. Si ça ne te dérange pas de faire un peu d'exercice, je vais t'amener au deuxième étage, dans la place des VIP. Sa te va?

Il attendit donc patiemment, souriant toujours aux multiples passants, tous des clients. Son regard brun se posa donc sur la jeune femme, le bras tendu.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Le brouhaha de la pièce commençait à s’amplifier, les gens sortaient de leur chambre pour passer la nuit à l’extérieur cela semblait évident. Des festifs dans une ville réputée pour vivre de nuit, Elystra n'avait jamais été à l'aise en compagnie de foule. La jeune femme se retourna vers son interlocuteur et posa la main sur son bras, lui fit un sourire rassurer, bien qu'en son fond le doute, un certain malaise, persistait. Il semblait intéressant et sincère. Pourquoi voulait t’il tant lui parler en privée? Elle avait une impression étrange qu’il était menaçant mais rien dans son aura ne pouvait dicter cela, les couleurs dictaient sont humeurs et ses émotions. Ses malaises était dû seulement à des impressions qu’elle étouffait.

"Allons si…"

Elle laissa plané un silence après ses simples mots en le suivant sans un bruit jusqu'à l’escalier, qu’ils montèrent. Elystra se laissa guidée, car elle ne connaissait pas du tout leur destination.

"Pourquoi désirez vous tant me parler en privée? Aurait-je fait quelque chose qui contreviens au règlement de cette hôtel?"

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

Cédric ouvrit donc la marche, marchant de pas lent, laissant à Elystra, si elle le désirait, contempler un peu L'hôtel. Quand il vit que la foule amplifiait, ainsi que les regards que sa "compagne" lançait aux gens qui les entourent, il décida d'accéléré légèrement le pas. Il regardait droit devant lui quand il reprit la parole à nouveau.

-C'est pas tant que j'y tien, mais tout d'abord, tu sembles pas aimer la foule, c'est évident... Trop de facteur me le font dire. Premièrement, les regards que tu jettes à tous ceux qui posent leurs yeux sur toi. Cependant, malgré le fait que tu sembles aimé la solitude, tu t'habilles de façon à attirer les regards, donc, je dirais que tu aimes l'attention des gens, mais pas n'importe lesquels. Puisqu'ici tu ne connais personne, moi y compris, je me dis seulement que tu serais plus à l'aise de parler en privé...je me trompe? Sinon, le salon de L'entré fera l'affaire. Et non, mamzelle, t'as rien fait contre le règlement. Le seul règlement qu'il y a ici... bah il ne te concerne pas.

Cette fois, il tourna les yeux vers la jeune humaine qu'il avait près de lui, pour la première fois, il regada autre chose que ses yeux. Il descendit rapidement le regard le long du corps de celle-ci avant de le relever. Puis, regardant à nouveau devant lui, avant même que celle-ci puisse répondre quoi que se soit...

-Scuse moi, j'ai pas a t'analyser comme ça. Alors, ce verre, sa sera quoi?

tous deux étaient maintenant à la hauteur du mini-bar de L'entrée.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Un petit sourire en coin se dessina sur les lèvres de la jeune femme, l’homme face à elle était perspicace. La pièce dans laquelle ils se trouvaient étaient décorer avec chic et destinée clairement à offrir une chaleur accueillant à tout les visiteurs. Elystra relâcha le bras de son hôte pour le laisser se diriger vers le bar, elle lui répondit d’une voix distraite.

"Un simple vin rouge fera amplement l’affaire, merci."

Elle fit quelques pas lent dans la pièce regardant les peintures qui ornait les murs.

"Vous n’avez pas totalement tort, car en effet je n'aime pas vraiment les foules, trop de couleur."

Elle se retourna vers lui, pour revenir vers le bar. Lui fit un sourire charmeur, les yeux brillant usant de son charme simple et naturel. Elle fit quelque pas très lent en se déhanchant s’assurant que la chaîne portés autour de sa taille se mouvait au même rythme de ses pas pour invité le regard sur ses rondeurs féminine. Elle releva les épaules et s’approcha de lui en parlant d’une manière coquine, sans cesser de sourire calmement, comme l’aurait fait une femme voulant courtiser, jouant son rôle à la perfection. Ses gestes et ses paroles avaient un contraste étrange.

"Les humains sont capables d’offrir bien des choses pour les charmes d’une jolie personne. Ce sont des êtres prit dans leurs émotions et leurs désirs qui ne pense souvent pas plus loin que par leurs organes primaires, comme des bêtes. Il es toujours intéressant de voir a quel point de jolie attrait peuvent nous donner au femme, qui savent y faire, se qu’elle veulent. Je partais à la chasse avant que vous ne m’arrêtiez à l’entrée."

Elle prit le verre qu’il lui tendit, roula des hanches et pris place au bar, croisant les jambes pour laisser découvrir quelque peu ses cuisses.

"Cela m’aurait sembler bien étrange que vous ne portier pas un jugement sur ma personne. Je le fais toujours moi-même sur les autres… mais vous ne vouliez pas me voir pour quelques banalités tel que comprendre ma façon de penser, non?"

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

L'homme tendit donc le verre de vin rouge à la jeune femme qui l'accompagnait. Il s'assoit ensuite devant elle et l'écoute sans l'interrompre. une fois qu'elle eut terminée et qu'elle se fut assise au bar, il prit place près d'elle, ne commandant cependant rien a boire.

-Chu Désolé d'avoir interrompu ta chasse...Si tu préfères, on peut se reparler demain matin, quand tu reviendras....Si tu reviens. En fait, en t'interceptant, j'ai peut-être sauvé ta peau, ton humanité. C'est justement de ça que je veux te parler. À Frighthon, les humains sont bien vus....un peu trop bien vu, si tu veux mon avis...Maintenant, j'insiste, nous montons à l'étage...ça te va? Si tu veux resortir, c'Est à tes risques et périls...

Cédric était sérieux depuis le tout début de la conversation, mais cette fois, son ton na laissait pas trop place à la réplique. Ou les deux montaient, ou celle-ci partait...

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Elystra regarda son verre, fit tournoyer le liquide rougeâtre autour de la glace lentement avant de le porté a ses lèvres pour en prendre une petite gorgée. Elle s’était amusée avec le gérant, mais lui semblait vouloir lui parler de se qu’elle avait remarqué a son arrivé. Ses lèvres avaient perdue leurs sourires et une moite sérieux était apparu, elle le regarda du coin des yeux après qu’il eu parler. Il semblait arrivé a un point culminant comme s’il tentait de lui sauvé la vie.

Son aura aussi avaient changé, du calme bleu qui l’habitait celui-ci avait tournée plus foncé entre croisé de jaune plus foncé plus or, elle avait rarement vu de tel couleur mais cela confirmait ce que sont non verbale disait et le ton de sa voix également.

Elle reporta les yeux sur le liquide rouge le faisant tourner, elle poussa un petit soupir puis parla avec lenteur et prudence.

"Les gens de cette ville on peur… Je les remarqué ce matin, on dirait que cette peur est tellement ancré en eux qu’il ne se rendre plus compte qu’elle existe… Je n’avais jamais vu cela avant Frighthon…"

Elle se tourna vers le salon ou quelques invités étaient attablés dans leurs coins presque trop silencieux. La peur se lisant dans les auras de certains d’autres étaient imbibés de rouge sang. Elle le remarquait pour la première fois au petit matin, ils n’y avaient que des gens à la couleur brunâtre de la peur profonde, souriant étrangement malgré tout.

"Je n’es pas confiance en vous mais je le doit, mais yeux ne me trompe pas, vous dites la vérité pour l'instant… ou désirez vous allez en privée? Ici, les murs ont des oreilles."

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

(HRP: En fait, quand tu regarde les auras des gens autour, tu les trouve étonnament calme et serin. )

L'homme se leva et tendit à nouveau son bras vers la jeune femme. Cewtte fois-ci, quand els gens le saluait, il ne répondait pas. Ceux-ci n'insistèrent pas. Le regard de L'homme était rivé sur toi. Puisque que tu es assise, tu peux facilement penser qu'il regarde dans ton décolté, mais en fait, il cherche to regard.

-Comme je te l'ai dit tantot, ya un salon VIP au deuxième étage. On va avoir la paix si on va là. Pis je te demande pas de me faire confiance, t'as aucune raison de faire sa, tu sais juste mon nom, pis rien d'autre. Si sa se trouve, je veux juste te violer pis te tuer, mais c'est pas le cas, je veux en fait empêcher ça.

Celui-ci attend patiemment que tu reprennes son bras pour se mettre en marche. Peu à peu, l'Hôtel se vide, certains sortant, d'autre montant aux chambres pour dormir. Un homme vêtu de vêtements de la même couleur que les murs de l'hôtel, c'est-à-dire Bleu Glace, fait son entré et se dirige vers Cédric. Celui-ci le voit arrivé, lui fait un signe qui pointe la porte d'entrée. L'homme secou la tête de bas en haut, pose le regard sur toi un peu, et se précipite vers la sortie. Cédric reporte son attention sur toi.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

La jeune femme ne dit pas un mot a ses paroles, elle n’avait pas besoin de cela, elle avait assez parler pour l’instant. Elle appuya sa main sur son avant bras se releva en reposant son verre qu’elle avait a peine bu.

Il cherchait son regard mais elle le fuyait regardait autour d’elle avec de plus en plus de curiosité camouflée par ses airs britanniques. Elle voyait des choses étranges, pourquoi les gens étaient ils si calme alors qu’à l’extérieur avant son arrivée… des jeux de mots silencieux se faisait entre l’employé en bleu et le gérant.

Cela ne faisait pas son affaire de ne pas savoir ainsi, elle commençait presque à s’impatienter de ne pas être tenu au courant. Pourtant, elle le suivi sans un mot mais cherchant a déchiffrer du regard se qu’elle ne savait pas. Elle arrêta de fuir le regard de Cédric pour l’accrocher et le suivre pas a pas vers la pièce qui semblait être la boite au trésor de sa curiosité et Cédric la clé.

Elle avait relâché son bras galant pour croiser ses bras en signe évident de protection, comme si elle avait froid. Le suivant toujours au pas, elle avait l'impression qu'il semblait plus presser comme ardent de se retrouver dans cette pièce. Qui avait-il de si grave?

(HRP : Je ne sais pas ou tu veux nous conduire alors je te laisse la description de se salon ^^)

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

Quand Cédric capta le regard que sa compagne lançait à l'homme en habit, il dit simplement. -Mon patron Puis il continua son chemin. Arrivé tout en haut de L,escalier, il tourna directement à droite et, à l'aide d'une clé qu'il sortit de sa poche, ouvrit une porte sur laquelle on pouvoir voir une plaque disant Salon VIP, Sur invitation seulement. À l'intérieur se trouvait deux personnes, que Cédric renvoya poliement. Ceux-ci sortirent en approuvant, sans demander de raison. Apparament, le grand gaillard était plutot respecté.

La pièce était très grande. Seule une barmaid resta dans la pièce, celle-ci te serva un verre de vin rouge à nouveau, à la demande de Cédric. Encore une fois, celui-ci ne prit rien. Dans la pièce se trouvait deux table de billards, deux table de poker, une grande télévision 61 pouces plasma, un bar bien plus grand que celui dans le hall d'entré, plusieurs table et une musique sans paroles jouait, des violons. Cédric se dirigea vers le centre de la pièce, regardant si tu le suivais. Il tira ensuite une chaise, t'invitant à t'assoir. Une fois cela fait, il resta debout, demanda à la serveuse de sortir, ce qu'elle fit. Ensuite, il commença, avec une seule phrase.

-Tu c'est ce que c'est, un vampire?

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

La pièce était très luxueuse et vaste, tout semblait empesté l’argent, elle prit le verre que lui tendit la barman avant de sortir puis suivi Cédric vers les divans de cuir qui semblait des plus confortable. Elle avait une main a demi croisée devant elle, la main gauche poser sur le coude droit qui tenait son verre. Elle continuait de fixer Cédric de plus en plus nerveuse, redoutant ce qu’il allait lui dire. Elle s’assit sur le divan aussi confortablement que s’il s’agissait d’une vulgaire chaise de bois. Le dos restant droit incapable de se détendre, elle posa les mains sur ses cuisses.

C’est lorsqu’il posa sa question, qu’on pouvait réellement remarqué à quel point elle était crispées. Pour la première fois depuis qu’il l’avait vu, elle ouvrit les yeux clairement surprises, ses émotions étaient toujours voilé ordinairement. Ses épaules s’abaissèrent et elle se cala dans le fauteuil lui renvoyant un regard qui aurait pu se traduire part « Vous vouliez vraiment me voir pour parler de vampire? De ses histoires à faire peur aux gamins ». Elle resta un moment sans parler voyant que son sérieux de bronchait pas même son aura n’avais pas cette lueur lorsqu’on riait. Il était sérieux… Elle fronça les sourcils et croisa les jambes, le regardant sans lâcher son regard avec cette clair interrogation de pourquoi il voulait qu’elle lui raconte les balivernes apprises depuis qu’elle était toute petite?

"Les vampires… Des êtres demi vivants, leurs corps sont éternels car ils sont morts depuis longtemps, leurs êtres de chairs restent d’une allure éternellement jeune. Ils se nourrissent de sang, des animaux autant que des humains mais apprécie plus le sang des humains. Il sont si vorace qu’il vont dépouiller l’être humains de tout son sang jusqu’à les laisser secs et rabougri donnant l’impression qu’ils ont la peau sur les os et lorsqu’on touche la peau elle craque tant qu’elle es desséché. Ils y a plusieurs choses que les vampires ne peuvent toléré qui sont de bonne arme pour se protégé d’eux notamment le plus simple, s’il se retrouve face au soleil les jeunes vampires implosent et les plus âges retourne a l’état que leurs corps auraient du rester, en cendre. L’argent, le métaux, leurs faits également peur car elle peux les blesser, les balles ordinaire ne leurs font rien. Certains pays disent que l’eau bénite leur serait d’autant fatale que de leur lancer de l’acide sulfurique, elle désagrège leurs corps, les brûles. D’autres disent que l’ail les repoussent et d’autres encore parle de crucifie."

Elle avait un ton ironique dans la voix en parlant. Elle prit une gorgée de son vin et le regarda toujours dans les yeux.

"Vous ne croyez pas réellement toutes ses balivernes? Ce sont des histoires à faire peur au enfant pour qu’ils nous écoutes ou encore dans certains villages propices aux croyances de se genre, mes tantes étaient de vieilles sorcières qui croyaient dur comme fer à se genre d'adnégation."

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

L'homme écouta sans broncher, ne tenant pas comte de la pointe d'ironie qui se trouvait dans la voix de son invitée. Puis, quand elle souligna que tout n'était que baliverne, il eut un petit sourire en coin. Il s'avança et se mis en position du petit bonhomme juste devant Elystra.

-Ma chère petite dame, tes connaissances sont vaste! Cependant, t'as deux faute dans tout ton récit!

L'homme se relève donc et se rassoit sur son fauteuil, croisant la jambe droite par dessus la jambe gauche. Puis, sur un ton de professeur de première année, il entama une courte explication.

-Tu as raison, certains vampires se désagrègent, d'autres implosent aux soleils, mais ceux-ci ne sont pas toute les races de vampire. Certaines peuvent le toléré, et même vivre en plein jour sans le moindre problème. De plus, oui, L'argent est horrble, mais les autres métaux ne le sont pas. L'ail ne repousse pas, mais il ne faut pas en avaler, et oui, l'eau bénite possède un effet acidique sur nous. Oui, j'ai bien bit, sur NOUS!

Cédric, de son sourire en coin, passa à un sourire toute dent sortie. Après un certain moment, les canines commencèrent à s'allonger, tranquilement, devenant beaucoup trop longue pour un humain normal. D'un ton totalement ironique, Cédric lança.

-Tu pensais aller "en chasse" tout à l'heure, mais dans la ville de Frighthon, t'aurais été la proie, et non la chasseuse! Cette ville regorge de créatures de conte de fée, il est temps de t'ouvrir les yeux! Vampire, loup-garou, et bien d'autre, nous existons! N'ait pas peur de moi, je ne suis pas dangeureux. Mais dehors, tu serais ciblé par bien des gens...C,est de cela que je voulais te parler.

L'homme attendit de voir L'impact que ferait ses paroles sur le jeune femme. Il resta donc là, sans bouger, attendant, toujours aussi calme.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Elystra cessa de sourire lorsqu’il s’approcha d’elle lui parlant comme si elle était une petite fille. La froideur revient sur ses traits ne laissant pas transparaître sa colère. Elle l’écouta, regardant ses mouvements et ses gestes qui en disait bien souvent plus long que les simples mots. Lorsqu’il se transforma, Elystra conserva les jambes croisées sans bouger, la terreur venait prendre le pas sur la colère en elle et elle tentait tant bien que mal de se raccrocher a tout ce qui n’était pas la peur. Pourtant son aura n'inspirait toujours pas la peur et la prudence de sa part. Son visage restait toujours impénétrable en le regardant, ses pensées s’alternaient à une vitesse folle.

Ainsi, ses tantes avaient raison… Tout les contes et mise en garde apprise depuis le début de sa jeunesse remontant à si loin serait tous vrai? Ici elle devrait se souvenir de ce qu’elle avait appris enfant les concrétiser alors qu’elle les avait toujours vu comme des peurs de vieille. Les loup - garou, les vampires, les êtres démoniaques et même les sorcières étaient réelles. Les croyaient aux sorcières bien entendu puisqu’elle avaient grandit avec deux d’entre elles, alors pourquoi le reste de créatures n’existeraient pas?

Les baissas les yeux sur son verre de vin le faisant tournoyer dans son verre, elle ne devait pas se laisser transpercé par ses émotions mais analysé la situation avec logique. Elle décroisa les jambes en gardant le silence, le corps sur la défensive. Elle analysait se qu’elle avaient vu en arrivant, tout prenait un sens. La peur profonde des gens était clairement compréhensible… mais pourquoi n’avait-elle pas vu cette peur ici?

Sa voix était ferme sans tremblement seule la force du ton laissait transpercé sa peur, elle était légèrement plus forte qu’un chuchotement.

"Pourquoi cet endroit serait-il moins dangereux qu’ailleurs dans cette ville? En tant que vampire, je suis autant votre proie autant qu’un autre humain passant les portes de cette ville. Pourquoi aurait-il la moindre protection avec vous contrairement a un autre?"

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

L'homme se recala dans le fond de son siège, croisant ses mains derrière sa nuque. Il observa un moment son interlocutrice, attendant qu'elle parle, qu'elle réagisse de n'importe quelle façon. Puis, lorsque cela fut fait, ses paroles à peine audible qu'elle avait prononcées, il se leva, tira son siège vers elle et se rassoit. Il y a maintenant très peu d'espace entre les deux.

-Mon boss, que t'as vu tantôt, est un homme très respecté partout dans Frighthon. Il est vampire, également. Les humains qui sont natif de Frighthon sont au courrant de notre existence, pour la plupart. C,est pourquoi mon boss a instaurer le règlement interdisant de mordre qui que se soit entre ces murs. Les lycans et les vampires se tiennent à carreau. Tant que tu sertas entre ces murs, tu es en sécurité. Je ne mord jamais, Fred non plus. On achète notre sang à la morgue, prélevé de gens décédé par un certain Mason, son nom m'échappe.

L'homme se leva et se dirigea vers le comptoir. Il fouilla en dessous, sortant un sac rempli d'un liquide rouge très épais. Du sang, sans aucun doute.

-Voilà comme je me nourris. Mais cependant, une fois en dehors de ses murs, tu seras seule face à un monde ben cruel, ma belle tite dame.

Il vint ensuite se rassoir, tenant toujours le sac dans sa main. Pour une seconde fois seulement depuis le début de la conversation, il laissa aller son regard sur tout le corps de sa cliente, sans même tenter de se cacher.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

Elle fixait toujours son verre faisant tourner le vin d’un mouvement de nervosité lorsqu’il se rapprocha et entra dans sa bulle. Elle le sentait assez proche sans le regarder et cela la mettait mal a l’aise. Elle s’était sentit attirer par cette ville comme si quelque chose l’appelaient pourtant… Pourquoi ses pas l’avaient menés dans un repère de vampire aussi grand qu’une ville…

"Si je comprends bien…"

Elle se racla la gorge pour reprendre plus fortement avec plus de conviction et de force dans la voix.

"Si je comprends bien la seule façon de me protéger des gens de ton espèce est de resté enfermée entre les murs de cet hôtel, je ne peux pas subvenir à mes besoins éternellement en ne faisant rien d’autres que de paresser ici… Peu importe le temps que vous passer a tenter de protéger les gens ils devront un jour affronté le monde extérieur aussi dur qu’ils soient."

Elle se releva et regarda la poche de sang d’une couleur semblable à ce qu’elle avait trouver désagréable et étrange dans l’aura de l’homme. Le signe de la passion, un désir impératif et pressant, c’était le désir du sang peut-être? Elle releva le regard pour voir la façon qu’il la détaillait. Puis baissa le regard pour se parler à elle-même.

"Les gens de cette ville ont peur je peut le voir, les vampires ont quelques choses de différents. Ils dégagent autre chose… Une passion, un désir ardent incontrôlable qui ne semble jamais inassouvi, le sang sans doute."

Elle posa son verre sur le bar prêt de la poche de sang puis posa une main sur sa hanche pour prendre une pause aguicheuse, le défiant. Elle releva le regard pour regarder son visage le détaillant jusqu'à finir dans ses yeux. Son visage était impénétrable mais ses yeux reflétaient une détermination farouche qui cachait complètement ses peurs.

"Je ne suis pas ici pour rien. Je ne sais pas pourquoi mais je ne peut pas vivre en étant enfermée entre quatre mur, même si la cage est dorée. Je suis néanmoins heureuse d’être consciente du danger qui règne a l’extérieur… Y aurait il autre chose que je devrait savoir si je sort?"

Admin Nombre de messages : 57 Age : 36 Date d'inscription : 22/08/2008

L'homme se leva en même temps qu'Elystra, soutenant son regard. Ensuite, unje fois qu'elle eue finit de parler, il fit un non de la tête.

-T'as rien compris du tout! Je te demande pas du tout de rester enfermer, je voulais seulement te prévenir de ce que tu rencontreerais dans la ville, et te dire que quand tu seras dehors, tu seras une cible. Maintenant, si tu veux tout de même sortir pour satisfaire tes besoins, je ne vais pas te retenir, chui pas ton père. Mais fait quand même attention, je ne veux pas perdre une cliente.

Cédric se dirigea vers la porte, qu'il ouvrit, et se tassa de côté pour laisser passé la jeune humaine.

Humain Nombre de messages : 39 Age : 41 Date d'inscription : 22/08/2008

[hrp]Désolée pour le temps de réponse ><[/hrp]

Elle semblait avoir toucher une corde sensible a voir comment il réagissait. Elle avait pourtant parler avec calme et logique triste et morne. Elle poussa un soupir, passa une main dans ses cheveux détachés et relâcha la base de son verre qu'elle faisait tournoyer sur le comptoir. Elle n'avait pas envie de ressortir ce qu'elle avait appris sur les êtres fabuleux, se qu'elle avait toujours cru fabulation de sa jeunesse.

"Merci bien pour l'information et pour le verre."

Il était étrange cet homme. Bien qui dégageait une tranquillité pousser et rassurante, elle ne faisait confiance a personne et cela faisait trop parti de sa personnalité pour en être autrement a présent. Elle passa le pas de la porte et retourna a pas lent vers sa chambre. Les oreilles sur la défensive du moindre bruit suspecte.

De retour dans la pièce elle ferma la porte et la barra à double tour. La lune était haute dans le ciel et éclairait la pièce sans même qu'elle es besoin d'ouvrir la lumière, des babioles brillait sur son lit, tout ce que contenait son sac de voyage. Des bougies, des allumettes, des poches de feuilles, des vêtements, elle tassa le tout chercher de petite babiole qui sont toujours utile pour les villes dangereuses. Elle ne pensais pas les mettre des le premier jour, mais cela semblait essentiel a Frighthon… Elle mit la main sur un minuscule crucifie d’argent, le bout était pointue et aiguiser comme une lame de rasoir malgré la petitesse de l’objet. Elle l’accrocha ou il allait au bout de la chaîne qu’elle portait autour de la taille.

Elle sortir une cape pour camouflé quelque peu sa chaînette brillante, s’attacha ses cheveux libres puis ressorti de sa chambre et descendit de l’escalier. Elle avait besoin d’air même si elle n’allait pas loin… Cette fois personne ne l’arrêta dans sa descente certain semblait même lui renvoyer des regards d’interrogations. Pourquoi une bonne chair tel qu’elle sortait la nuit sans doute…

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